Sunday, April 3, 2011

La crise en Darfur


Un jour ordinaire chez nous, on se lève et on va à l’école. On voit nos amis, on va au travail, puis on retourne à nos maisons secures avec une famille qui nous aime et tous les conforts qu’on puisse vouloir. Si quelque chose y arrive de mal, il y a toujours des proffessionels avec notre confiance pour tout arranger. Pour les habitants de Darfur, Sudan, la vie quotidienne consiste de la peine, le faim, l’abus, le meurtre et le viol. Il n’y a aucune autorité pour les sauver, car c’est les autorités qui permettent les horreurs.


En février 2003, des groupes rebelles appelés l’Armé de la Libération de Sudan et le Movement de la Justice et l’Égalité se sont révoltés contre le gouvernement soudanais en les accusant d’opprimer les habitants non-Arabs en faveur des Arabs. Le gouvernement était aussi accusé d’avoir négligé le Commission d’Enquête sur Darfur de l’ONU qui évaluerait leur situation. Au lieu de combattre les rebelles directement, le gouvernement a supporté une campagne systématique contre les civiles de Darfur de la même ethnicité que les rebelles par le Janjaweed—une groupe milice d’hommes armés, montés, afro-arabs. Le gouvernement nie qu’il support le Janjaweed, mais il les a supplié avec l’argent et l’assisstance, aussi qu’avoir participé dans les attaques contre les tribus qui supportent les rebelles.

Les forces militaires soudanais ainsi que le Janjaweed ont brulé et détruit des centaines de villages. Utilisant le peur comme une arme, des milliers de femmes et de filles sont victimes de viol et d’assaut. Environ 2.7 millions d’habitants sont déplacés pour s’enfuir du conflit—plus que 240,000 vivent dans des camps de réfugées dans la région voisine de Chad. Selon les figures de 2008, l’ONU estime que le taux de mort de ce conflit de cinq ans peut être aussi haut que 300,000 milles morts. Cependant, les nombres sont difficiles d’estimer à cause des obstacles qu’impose le gouvernement soudanais sur les journalistes qui essayent de couvrir la situation. Bien que certaines hésitent d’employer le terme, le conflit en Darfur et considéré par plusieurs d’être un génocide et était nommé par l’ONU, “la pire crise humanitaire du monde.”

Plus que 4 millions de personnes en Darfur sont dépendants sur l’aide humanitaire, mais la manque de sécurité ainsi que les attaques dirigées sur les travailleurs limitent leur accès sévèrement ; le gouvernement avait déclaré qu’il reconnaitrait les forces étrangers comme des envahisseurs. Au moins 100,000 personnes sont totalement découpées de l’aide. Le 31 juin, 2007, le Conseil de la Sécurité de l’ONU a décidé de déployer une force de 26,000 personnels de police et militaire international—appelé UNAMID—avec le consentement de Sudan, mais la force rencontre un manque de cooperation du gouvernement, les délais en les forces près à se déployer, un environnement prohibitif, et les défis logistiques. Un des plus grandes opérations de pacification dans l’histoire de l’ONU, UNAMID travail fort avec leurs resources limités pour protéger les civiles de ce région pendant qu’il attend l’aide qu’il a besoin de la communité internationale pour répondre à leur mandat.

Pour plusieurs années, le mot « Darfur » était un que j’ai entendu parfois en passant sans aucun intérêt. Ce n’était que l’été de 2008 quand la réalité des évènements y passant m’a été expliquée. Le conflit en Darfur est un atroce. C’est la mort et la déstruction insensé et écoeurant. « Comment, » je me suis demandé, « Est-ce que des tels choses peuvent être en effet pour cinq ans avant qu’ils arrivent à mon attention? » C’est la faute, j’ai décidé, de l’ignorance adolescente nord-américaine. Ici en Canada, saufs et heureux, on s’occupe seulement de ce qui nous affecte directement—et on l’aime comme ça. Pendant que nous vivons contentement aveugles, l’enfer fait rage sur l’autre côté de la glôbe. On ne peut pas imaginer ou nous rapporter avec Darfur car c’est un monde tellement étranger de le notre; mais la vérité est que ceci est tout notre monde et ses habitants ne peuvent pas permettre notre ignorance.

J’ai appris de ces évènements, pas de les nouvelles, ni des journaux, ni de l’école, mais d’une amie. Mon intention aujourd’hui n’est pas d’évoquer la peur ou la culpabilité, ni même de vous informer trop. Je veux seulement présenter cette situation à vous comme elle était présentée par mon amie à moi: avec l’espoir qu’elle vous incitera de rechercher ces évènements et d’autres plus profondément, pour qu’on puisse établir une génération consciente et impliquée dans le monde qui nous entour.

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